L’ utilisation de la location au lieu d’acheter des biens immobiliers peut être bénéfique. Il est souvent choisi pour des questions de mobilité financière et professionnelle. Toutefois, il doit être informé en amont de ses droits et obligations avant de signer un bail. En outre, ce problème est d’autant plus important que les appartements sont loués comme résidence principale dans la plupart des cas.
Bien que le bail de logement soit l’un des contrats les plus fréquemment conclus aujourd’hui, il n’est pas toujours évident de comprendre la législation. Elle fait effectivement l’objet de nombreuses réformes, dont la loi ALUR du 24 mars 2014.
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Conformément à la loi ALUR, qui vise à renforcer les droits des locataires, à réglementer le marché locatif et à promouvoir l’accès au logement, LegaLife a répertorié les 5 meilleurs points pour vous avant de devenir locataire d’un bail résidentiel.
Index
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- 1 Renseignez-vous sur le montant du loyer avant de signer un bail résidentiel
- 2 Vérifier la durée du contrat avant de signer un bail résidentiel
- 3 Intéressé par les clauses spécifiques du
- bail résidentiel 3.1 Clauses de
- 3.2 Interdit
droit
- 4 Documents de contrôle joints au bail
- 5 Méfiez-vous des honoraires d’agence lors de la signature d’un bail résidentiel
- 6 Consulter un avocat immobilier
clauses
Plan de l'article
- Vérifiez le montant de la location avant de signer un bail
- Vérifiez la durée du contrat avant de signer un bail de logement
- Intéressé par les clauses spécifiques de la location d’appartement
- Documents de contrôle joints au contrat de location
- Méfiez-vous des frais d’agence lors de la signature d’un bail résidentiel
- Consulter un avocat immobilier
Vérifiez le montant de la location avant de signer un bail
C’ est là le critère de base. En fait, le montant du loyer cherchera votre logement avant tout. Elle conditionne également la sélection de votre dossier par le propriétaire, qui détermine un rapport entre le loyer demandé et le revenu.
Le principe de droit est la fixation gratuite du loyer par les parties. Cependant, dans la pratique, en réalité, il est souvent imposé par le propriétaire. La loi ALUR a cherché à contourner cette règle contractuelle en réglementant les loyers dans les villes de Paris et de Lille. Cette restriction, qui est mise en œuvre graduellement, sera mise en œuvre par le biais d’un quartier établi à bail de référence. En particulier, elle tient compte de la date de construction et de la catégorie d’hébergement.
En dehors de ce cadre pour les loyers, la fixation gratuite du loyer reste en place. Par conséquent, afin de pouvoir estimer les frais de location mensuels aussi précisément que possible, il est nécessaire de s’assurer que le montant du loyer inclut les frais de location tels que l’eau ou l’électricité. Sinon, un budget supplémentaire dépend du type et de la superficie du logement.
Vérifiez la durée du contrat avant de signer un bail de logement
Il est important avant de signer un bail de logement à poser des questions sur la durée du bail. Cela dépend du type de location envisagé.
Dans le cas d’une location dans le cadre d’un contrat de location de biens immobiliers résidentiels meublés, la durée du bail est dans la plupart des cas d’un an. Le contrat peut ensuite être renouvelé annuellement par un renouvellement tacite.
Cette période est un montant minimum fixé par la loi. Il n’y a donc rien qui puisse interdire la conclusion d’un bail meublé pour une période plus longue. D’autre part, il est interdit de prévoir une période de location plus courte. La seule exception est la location à un étudiant. Si vous êtes étudiant, vous pouvez signer un bail pour une période de 9 mois, ce qui est égal à la durée d’un cycle universitaire.
Dans le cas d’un bail dans le cadre d’un bail de logement non meublé, le bail sera facturé pour une période minimale de 3 ans ou 6 ans. Cette durée dépend du fait que le propriétaire est une personne physique ou morale.
Cependant, il est possible d’être différent de cette règle. Vous pouvez signer un bail résidentiel d’un an si le propriétaire veut ramener chez lui pour certaines raisons. Il s’agit de raisons familiales ou professionnelles qui doivent être incluses dans le contrat. En l’absence d’autorisation du propriétaire au locataire, la location de logements meublés sera tacitement renouvelée pour la même période que le bail initial (3 ans ou 6 ans).
Intéressé par les clauses spécifiques de la location d’appartement
Avant de signer un bail résidentiel, le locataire doit être très prudent contrat. À cette fin, les clauses suivantes, qui sont prescrites dans un bail résidentiel, et les clauses interdites par la loi.
Clauses légalement imposées
Il s’agit de ceux qui doivent être inclus dans la location en vertu de l’article 3 de la loi sur l’ALUR. Le contenu minimum obligatoire s’applique aux :
- L’ identité du propriétaire (nom ou désignation) ;
- la date d’entrée en vigueur et la durée du bail ;
- La cohérence et le but du bail (usage résidentiel, usage mixte…)
- ; Désignation des locaux et des équipements destinés à un usage privé ;
- Le quartier résidentiel de la loi Carrez ;
- Le montant du loyer ;
- augmentation des loyers de référence et de référence par type de résidence ;
- Le montant et la date de paiement du dernier loyer payé par le locataire précédent aux locaux moins de 18 mois avant la signature du nouveau bail ;
- L’ acompte ;
- référence aux équipements d’accès aux technologies de l’information et de la communication ;
- Type et portée le travail effectué dans l’appartement entre deux baux ou depuis la dernière prolongation du bail.
Clauses inopinées
Votre inclusion dans le bail justifiera alors votre résiliation sans invalider le bail lui-même. Ce qui suit est considéré comme non écrit :
- pénalités des clauses pénales qui pénalisent le locataire en cas de retard dans le paiement des frais de location et de location ;
- Certaines clauses exigeant que le locataire souscrivent à un contrat de location de matériel ;
- clauses facturant au locataire le coût de l’inspection des locaux ;
- Et enfin, les clauses qui interdisent au locataire d’exiger une indemnisation du propriétaire en cas d’exécution de travaux de plus de 21 ans.
Documents de contrôle joints au contrat de location
Les lasers signés à partir du 1er août 2015 sont marqués documents secondaires obligatoires sont enrichis.
Le contrat de location d’un immeuble résidentiel comprend les informations suivantes :
- Une communication informative sur les droits et obligations du locataire et du propriétaire ;
- Inventaire des emplacements d’entrée spécifiés au moment de la collecte des clés. À partir du 1er juin 2016, de nouvelles règles sur l’état des lieux sont requises (décret du 30 mars 2016). Il n’a donc guère besoin de mentionner certaines données de nullité. Cela comprend une description de l’état de chaque pièce, ainsi que les lectures des compteurs d’eau et d’énergie ;
- Le fichier de diagnostic technique pour l’immobilier, qui contient plusieurs documents :
- DPE (diagnostics de performance énergétique),
- Le Crep (risque d’exposition au plomb),
- La copie de l’état de l’amiante,
- Et l’état des risques et de la pollution. Cette obligation s’applique lorsque la appartement est situé dans une zone à risque déterminée par la réglementation préfecture ;
- Le certificat d’assurance contre les risques de location auquel le locataire a souscrit obligatoire. Il protège le bien contre les dangers (incendie, explosion, fuites d’eau) ;
- Une copie du règlement sur les condominiums, si l’appartement se trouve dans un immeuble d’habitation ;
- Une copie de l’accord d’Anah ou APL lorsque le logement locatif est complet.
Méfiez-vous des frais d’agence lors de la signature d’un bail résidentiel
Les frais de location facturés par les agents immobiliers, communément appelés honoraires d’agence, ne devraient pas être négligés au moment de la signature du bail. En fait, en vertu de la loi ALUR doit être chargé par les organismes encadrés. Ce programme est réalisé par l’échelle et la fonction de l’emplacement géographique et de la taille des agences. Appartement à louer. Elle s’applique qu’elle soit vide ou meublée.
Seuls les services liés à l’organisation des visites, la préparation d’un dossier, la rédaction de la location d’appartement, l’achèvement de l’inventaire des lieux d’entrée peuvent être soumis à la facturation. La colonisation varie selon que le bien est situé dans une zone très tendue, dans une zone tendue ou dans le reste du territoire.
Le locataire doit payer les frais exigés en vertu de ce cadre, mais dans une double limite légale :
- Tout d’abord, le montant facturé ne doit pas dépasser le montant facturé au bailleur.
- Deuxièmement, le montant calculé doit être inférieur ou égal au plafond par m2 de surface habitable de l’appartement en location.
Si le propriétaire a utilisé l’expertise d’un professionnel de l’immobilier pour louer sa maison, le bail doit être conforme à la Contenir des règles relatives au partage des coûts d’agence. L’article 5-I de la loi du 6 juillet 1989 doit alors être reproduit et indiquer le montant des limites de règlement applicables au locataire.
Consulter un avocat immobilier
Voulez-vous revoir votre bail avant de signer, êtes-vous confronté à un conflit ? Vous pouvez consulter un avocat spécialisé en droit immobilier. Il répondra à toutes vos questions juridiques.